Je reviens vers vous pour les lectures de la semaine avec un peu de retard.

Dans l’article d’aujourd’hui, j’ai un peu triché, il y a une lecture de la semaine dernière.
J’ai été prise un peu par le temps pour vous faire un article complet en temps et en heure la semaine dernière.

J’aime bien alterner bande dessinée et livre dans mes lectures, voir même en ce moment je lis quelques pages d’une BD et j’enchaine ensuite sur la lecture de mon livre, comme çà j’avance sur les deux 😉

J’avoue que mes ressentis sur les livres dont je vous parle ne sont pas assez complets, mais je ne doute pas que je vais m’améliorer sur ce sujet lors de mes prochains articles.

Pour cette semaine 23 – 2023 je vais vous parler de mes lectures en cours.

Just Kids

Just Kids de Patti Smith aux Éditions Gallimard.

Résumé: C’était l’été de la mort de Coltrane, l’été de l’amour et des émeutes, quand une rencontre fortuite à Brooklyn guida deux jeunes gens dans la vie de bohème, sur la voie de l’art. Patti Smith et Robert Mapplethorpe avaient vingt ans ; elle deviendrait poète et performeuse, il serait photographe. À cette époque d’intense créativité, les univers de la poésie, du rock and roll et du sexe s’entrechoquent. Le couple fréquente la cour d’Andy Warhol, intègre au Chelsea Hotel une communauté d’artistes et de marginaux hauts en couleur, croise Allen Ginsberg, Janis Joplin, Lou Reed… Just Kids commence comme une histoire d’amour et finit comme une élégie, brossant un inoubliable instantané du New York des années 1960-1970. Avec pudeur et émotion, Patti Smith retrace l’ascension de deux gamins inséparables qui insufflèrent la même énergie à leur vie qu’à leur art.

Mon ressenti

J’ai découvert ce livre, grâce à une interview de Kaia Gerber (plus d’info) relatant que cette lecture avait été très inspirante pour elle. Ni une ni deux je me suis plongée dans ce livre. Je me suis reconnue dans la façon de penser de Patti Smith quand elle était jeune et qu’elle se définit comme une artiste. J’avoue que grâce à ce livre j’ai repris mes pinceaux et je me suis remise à peindre de façon beaucoup plus libre.
Nous découvrons Patti Smith à son arrivée à New York, sa vie auprès de Robert Mapplthorpe, et surtout leur évolution, leur milieu artistique, leur création.
Pour moi ce livre fut une vraie source d’inspiration, qui m’a pas mal bouleversé.

Tocqueville, vers un nouveau monde

Tocqueville, vers un nouveau monde une bande dessinée de Kévin Bazot aux Éditions Casterman.

Résumé : Le parcours initiatique d’Alexis de Tocqueville en Amérique. Été 1831 : deux Français entreprennent un voyage aventureux jusqu’au cœur de la région des Grands Lacs américains. De la disparition annoncée des Indiens à l’urbanisation forcenée, ils témoignent de la fin du Nouveau Monde, rapidement dévoré par les jeunes et impétueux États-Unis d’Amérique. D’après le récit d’Alexis de Tocqueville, Quinze jours dans le désert.

Mon ressenti

J’ai beaucoup aimé les dessins et les couleurs de cette bande dessinée, le sujet touche l’histoire de l’Amérique vis à vis des Indiens. Dès le début de l’histoire nous suivons le parcours de Alexis de Tocqueville et Gustave de Beaumont, qui décident d’explorer des endroits assez reculé dans la région des Grands Lacs américains.
Cette bande dessinée est très intéressante pour son coté historique et la découverte de cette région. Sa lecture est facile.

Les colombes du Roi Soleil

Les colombes du Roi-Soleil (Livre 1 & 2) de Anne-Marie Desplat-Duc et Mayalen Goust aux Éditions Flammarion Jeunesse Père Castor.

Résumé : D’après les romans d’Anne-Marie Desplat-Duc. Aux portes de Versailles, entre intrigues, aventures et amitiés, les Colombes du Roi-Soleil écrivent leur destin.

Mon ressenti

Je suis passionnée par l’époque (l’histoire) de Louis XIV, donc quand j’ai vu cette couverture en librairie j’ai tout de suite craqué. J’aime beaucoup la finesse des dessins et la palette de couleur.
L’histoire se passe à la Maison Royale de Saint-Louis et tourne autour de quatre jeunes filles (Charlotte, Hortense, Isabeau et Louise). Au fil de l’histoire, nous nous attachons aux personnages, nous les suivons dans leur évolution.
J’ai beaucoup aimé ce premier livre qui m’a fait découvrir une autre facette de Mme de Maintenon au travers de son travail dans la Maison Royale de Saint-Louis. Je suis impatiente de lire la suite pour retrouver les personnages et la beauté de cette bande dessinée.

Pour aller plus loin

L’œuvre de Madame de Maintenon : la Maison Royale de Saint-Louis

Une visite de Louis XIV à la Maison Royale de Saint-Louis.
C’est ainsi qu’est fondée la Maison Royale de Saint-Louis, qui va être dirigée par la marquise de Maintenon. Elle est destinée à prendre en charge l’éducation des jeunes filles de familles exclusivement nobles, s’étant ruinées au service du roi.
Les élèves sont réparties en quatre classes selon leur âge, y reçoivent une instruction complète, puis sortent à 20 ans pour être mariées ou entrer au couvent, avec une dot offerte par le roi. À la cour, la présence de ces filles de la noblesse, belles, pieuses et pleines d’esprit, tout près de Versailles, fait beaucoup parler.
Quand Madame de Maintenon décide en 1689 de monter avec ses Demoiselles de Saint-Cyr la pièce de Racine Esther, ce sont tous les grands noms de la cour qui s’y déplacent. À la lumière dansante des chandelles, dans la soie et les brocarts des décors et des costumes, fournis par le roi, les demoiselles de Saint-Cyr font un triomphe. C’est l’heure de gloire de la Maison Royale. 

Article provenant du site : Jaimemonpatrimoine

A bientôt pour de prochaines lectures.